Qui suis-je ?
Fondateur de l’association « Aide Ton Prochain », association sans but lucratif, régie sous la loi de 1901 en tant que telle, dont je suis également le président, je me présente, Guy Mattana, né le 19 août 1958 en Alsace, en quelque sorte «missionnaire ouvrier», indépendant, car autofinancé.
Chrétien dans l’âme, certes, toutefois sans étiquette ni appartenance à quelque religion, actuellement domicilié en France, dans la région de Haute-Savoie qu’on appelle « le genevois ».
Je subviens à mes propres besoins et à ceux de mon association en travaillant de mes mains, de mes talents et de mon «savoir-faire polyvalent », principalement dans le domaine du terrassement et du bâtiment.
Mon « leitmotiv » pourrait s’exprimer par cette parole, qui est arrivée un jour à mes oreilles: « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis ». Alors, je me rends disponible là où je peux aider les autres. Ce peut être à côté de chez moi, ou ailleurs sur la planète, selon ce qui se présente.
Par exemple, en Côte d’Ivoire, où j’ai collaboré, avec le pasteur Moussa Koné, à établir une mission, avec dispensaire et école, dans le Nord du pays, ou bien à Haïti, dont les milliers d’orphelins ont touché mon cœur.
Dans ces endroits, en plus d’aider à la construction et au transport des volontaires et des matériaux nécessaires, j’ai apporté des médicaments, fournis par SEMM -Genève, et dispensé des soins médicaux élémentaires, par lesquels j’ai été heureux de contribuer à éviter l’amputation d’un membre, chez certaines personnes, la mort par septicémie, chez d’autres.
La plus grande partie de la population mondiale étant, à son insu, victime de la superstition, du vaudouisme, du maraboutage, de l’animisme, de la magie ou de la sorcellerie, ou encore sous la malédiction de nombreuses autres spiritualités obscures ou occultes, je donne également des enseignements pratiques sur l’hygiène ainsi que l’éclairage spirituel nécessaire à une vie salubre.
Exerçant en quart temps ce genre de ministère, où je m’investis complètement, priant aussi pour les malades et les infirmes, afin qu’ils soient guéris au Nom de Jésus, je m’adonne les trois-quarts de l’année restant à y subvenir concrètement, comme je l’ai indiqué plus haut, et je me tiens disponible, là où mes compétences sont requises.
Chrétien dans l’âme, certes, toutefois sans étiquette ni appartenance à quelque religion, actuellement domicilié en France, dans la région de Haute-Savoie qu’on appelle « le genevois ».
Je subviens à mes propres besoins et à ceux de mon association en travaillant de mes mains, de mes talents et de mon «savoir-faire polyvalent », principalement dans le domaine du terrassement et du bâtiment.
Mon « leitmotiv » pourrait s’exprimer par cette parole, qui est arrivée un jour à mes oreilles: « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis ». Alors, je me rends disponible là où je peux aider les autres. Ce peut être à côté de chez moi, ou ailleurs sur la planète, selon ce qui se présente.
Par exemple, en Côte d’Ivoire, où j’ai collaboré, avec le pasteur Moussa Koné, à établir une mission, avec dispensaire et école, dans le Nord du pays, ou bien à Haïti, dont les milliers d’orphelins ont touché mon cœur.
Dans ces endroits, en plus d’aider à la construction et au transport des volontaires et des matériaux nécessaires, j’ai apporté des médicaments, fournis par SEMM -Genève, et dispensé des soins médicaux élémentaires, par lesquels j’ai été heureux de contribuer à éviter l’amputation d’un membre, chez certaines personnes, la mort par septicémie, chez d’autres.
La plus grande partie de la population mondiale étant, à son insu, victime de la superstition, du vaudouisme, du maraboutage, de l’animisme, de la magie ou de la sorcellerie, ou encore sous la malédiction de nombreuses autres spiritualités obscures ou occultes, je donne également des enseignements pratiques sur l’hygiène ainsi que l’éclairage spirituel nécessaire à une vie salubre.
Exerçant en quart temps ce genre de ministère, où je m’investis complètement, priant aussi pour les malades et les infirmes, afin qu’ils soient guéris au Nom de Jésus, je m’adonne les trois-quarts de l’année restant à y subvenir concrètement, comme je l’ai indiqué plus haut, et je me tiens disponible, là où mes compétences sont requises.